Écrits naturels
“Un prodigieux observateur.”
- 224 pages
- 7 Illustration(s) N&B, 10 Illustration(s) couleurs
- Livre broché
- 12 x 18 cm
- De natura rerum
- N° dans la collection : 31
- Parution : 26/05/2021
- CLIL : 3643
- EAN13 : 9782252045299
- Code distributeur : 68253
Illustrations de : John Ruskin
Préface de : Frédérique Campbell
Traduit par : Frédérique Campbell
Notes de : Frédérique Campbell
Extrait Audio
Présentation
À la recherche du temps perdu de Marcel Proust a rendu internationalement célèbre le nom de Ruskin. Mais l’image ainsi donnée de son œuvre est biaisée, car John Ruskin (1819-1900) n’était pas qu’un spécialiste de Turner ou de l’architecture gothique.
Sa science s’étendait à la géologie, à l’histoire naturelle ou à l’économie politique. Le nombre de ses travaux, dans ces domaines également, est considérable.
Ces Écrits naturels réunissent, pour la première fois en français, quatre conférences d’histoire naturelle, dans lesquelles l’érudition prodigieuse de Ruskin s’allie à une verve humoristique déconcertante. Qu’il retrace le mythe d’Arachné, qu’il discoure sur le rouge-gorge, le crave à bec rouge ou sur les serpents, Ruskin se laisse entraîner par des réflexions beaucoup plus vastes, plus profondes, et toujours insolites. Un regard unique sur la nature, à découvrir de toute urgence.
Médias
John Ruskin, le socialiste préféré de Proust ?
France Culture - Émission "Sans oser le demander" du 11/10/2021 présentée par Matthieu Garrigou-Lagrange
Accéder au contenu
Presse
Non seulement John Ruskin sait voir, mais il fait de tout ce qu’il sait un instrument de vision supplémentaire. Ces Écrits naturels nous présentent ce prodigieux observateur.
Valeurs actuelles - 01/07/2021
Biographies Contributeurs
John Ruskin
Écrivain, critique d'art et réformateur social, John Ruskin a été professeur d'art à Oxford. Ses travaux sur l'art ont eu une très grande influence sur la réflexion esthétique de la deuxième moitié du XIXe siècle et du début du XXe siècle, tant en Angleterre que sur le continent. Marcel Proust s'est très tôt intéressé à son œuvre au point d'entreprendre (à sa mort) la traduction de La Bible d'Amiens et de Sésame et les lis. Proust décrit ainsi l'effet décisif de la révélation de Ruskin sur sa propre conception de l'art et de la vie : « Mon admiration pour Ruskin donnait une telle importance aux choses qu'il m'avait fait aimer qu'elles me semblaient chargées d'une valeur plus grande même que celles de la vie. »